Expression Écrite Juin 2025
Des thèmes traités à un niveau avancé, pour vous aider à exceller dans votre préparation.
Rédigez un email pour inviter un ami à passer une journée avec vous, en incluant les informations essentielles telles que le lieu, la date, l’heure, et les activités prévues pour la journée.
(60 mots minimum/120 mots maximum)
Salut Eduard,
J’espère que tu vas bien ! J’organise une petite journée détente samedi prochain, le 4 mai, et j’aimerais beaucoup que tu sois là. On se retrouve à 10h au parc de la Tête d’Or. Au programme : balade, pique-nique, jeux de société et beaucoup de rires ! Apporte ton déjeuner et une couverture. Dis-moi vite si tu peux venir !
À très vite,
Nabil
Après avoir participé à une journée de formation au sein de votre entreprise, rédigez un message à publier sur le forum interne. Partagez votre expérience avec vos collègues.
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3 Bonnes Raisons de Participer à la Prochaine Formation !
J’ai eu la chance d’assister à une journée de formation sur la communication au sein de notre entreprise. Loin d’être ennuyeuse, cette expérience m’a apporté des outils concrets et faciles à appliquer dans le quotidien professionnel.
Nous avons travaillé sur l’écoute active, la gestion des émotions et les erreurs d’interprétation. L’atelier sur les biais de perception m’a particulièrement marqué. À travers des mises en situation, j’ai compris à quel point nos réactions influencent les échanges au travail. Le formateur, dynamique et bienveillant, a su créer une vraie interaction avec le groupe.
Je recommande cette formation à tous les collègues. Elle permet non seulement d’améliorer les relations au sein de l’équipe, mais aussi de prendre du recul sur ses propres attitudes. Une journée enrichissante à ne pas manquer !
La colocation : entre avantages et inconvénients
Document 1 :
Vivre en colocation peut être une belle expérience humaine. Que ce soit avec un ami ou une personne que l’on apprend à connaître, cela permet de créer de nouveaux liens, de partager des moments agréables en rentrant le soir, comme discuter autour d’un repas ou regarder un film ensemble. C’est aussi un bon moyen de se répartir les tâches ménagères et de bénéficier des compétences de chacun, que ce soit en cuisine ou en bricolage.
Document 2 :
Vivre en colocation est une expérience bien différente de la vie en famille. Chacun a son propre rythme, sa personnalité et ses priorités, ce qui peut parfois compliquer la cohabitation. Si le courant ne passe pas avec le colocataire, cela peut vite devenir difficile à vivre. Les conflits surviennent souvent à cause du non-respect des tâches partagées ou du manque d’intimité. Le bruit peut aussi poser problème, comme un colocataire qui joue à des jeux vidéo tard dans la nuit.
Colocation : convivialité partagée ou source de conflits ?
Dans le débat sur la colocation, les opinions divergent. Le Document 1 insiste sur les avantages sociaux et pratiques de cette expérience de vie commune. À l’opposé, le Document 2 met en lumière les tensions possibles liées aux différences de modes de vie et au non-respect des règles de cohabitation.
À mon avis, vivre en colocation peut être une expérience enrichissante à condition qu’elle soit bien encadrée. Comme l’indique le Document 1, elle favorise les échanges humains, permet de partager les responsabilités et même de développer des compétences collectives. Cependant, les risques évoqués dans le Document 2 sont réels : un manque de communication ou d’organisation peut vite générer des conflits. Pour que la colocation soit une réussite, il est donc essentiel d’établir dès le départ des règles claires, de respecter les besoins de chacun et de privilégier le dialogue. Bien encadrée, elle devient une belle opportunité de vivre des moments chaleureux tout en apprenant à mieux vivre avec les autres.
Vous avez reçu un message d’un ami Alex qui vous demande des nouvelles de votre nouvelle université. Vous lui répondre en décrivant brièvement votre environnement universitaire.
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Salut Alex,
Merci pour ton message !
Ma nouvelle université est vraiment géniale. Les profs sont passionnés et très accessibles, toujours prêts à aider. Les étudiants viennent de partout, l’ambiance est super conviviale. On organise souvent des sorties et des activités sur le campus, comme des clubs, des soirées ou même des tournois de sport. Je me sens déjà bien intégré.
Et toi, quoi de neuf ?
À bientôt,
Nabil
Vous avez décidé d’arrêter d’utiliser votre réseau social préféré (comme Instagram, Facebook, etc.). Dans un texte adressé à vos amis ou vos lecteurs, vous racontez cette expérience.
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Une pause sans Instagram
Instagram, c’est le réseau des photos parfaites, des stories non-stop, et des vies qui donnent envie. Mais derrière l’écran, on se compare, on s’épuise, on perd du temps sans s’en rendre compte.
J’ai décidé de faire une pause d’un mois. Au début, c’était étrange : j’ouvrais mon téléphone par réflexe. Puis, petit à petit, j’ai retrouvé du temps pour lire, écrire, me promener. J’étais plus concentré, moins stressé. Je ne cherchais plus à plaire ou à suivre le rythme des autres. Ça m’a fait un bien fou.
Je vous recommande vraiment d’essayer, même pour une semaine. Vous verrez que l’absence d’Instagram libère l’esprit. Ce n’est pas facile au début, mais les effets sont rapides. On redécouvre des petits plaisirs simples et surtout, on revient à soi.
Photo sur le CV : pour ou contre ?
Document 1 :
De nos jours, certains candidats ajoutent une photo sur leur CV, d’autres non. Des experts recommandent de l’interdire pour éviter toute forme de discrimination. Une étude montre que les recruteurs s’intéressent d’abord à l’expérience (32 %) et aux diplômes (15 %), tandis que seulement 2 % commencent par regarder la photo. Une statistique étonnante, vu l’importance souvent accordée à l’apparence.
Document 2 :
La présence d’une photo sur le CV fait débat chez les employeurs. Certains estiment qu’elle permet de mieux visualiser le candidat et de s’en souvenir plus facilement parmi de nombreux dossiers. D’autres pensent que cela dépend du poste : dans les métiers d’accueil, par exemple, une photo peut être utile, à condition qu’elle soit professionnelle et transmette une image positive.
Faut-il mettre une photo sur son CV ?
Dans le débat sur la photo dans les CV, deux visions s’opposent. Le Document 1 milite pour son interdiction, soulignant le risque de discrimination et son inutilité selon une étude. À l’inverse, le Document 2 défend son utilité dans certains contextes professionnels, notamment pour faciliter la mémorisation ou visualiser un candidat.
À mon sens, la présence d’une photo sur un CV dépend du contexte. Dans les métiers d’accueil ou à fort contact humain, une photo professionnelle peut renforcer une première impression positive. Toutefois, le risque de jugement basé sur l’apparence reste réel. L’étude citée dans le Document 1 démontre que les recruteurs valorisent d’abord les compétences. Pour favoriser l’égalité des chances, il serait pertinent de proposer aux candidats la liberté de choix, sans en faire une norme. Ce respect de la diversité des parcours garantirait un recrutement plus juste et objectif.
Vous venez d’obtenir un nouveau poste et souhaitez annoncer la nouvelle à votre amie francophone. Décrivez votre travail, vos collègues et votre environnement professionnel.
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Chère amie,
J’ai une grande nouvelle à t’annoncer ! J’ai trouvé un nouveau travail ! Je suis désormais responsable marketing dans une entreprise de technologie. Mes collègues sont super sympas, très professionnels et ouverts à la collaboration. L’ambiance de travail est dynamique et agréable. Le bureau est situé en plein centre-ville, avec une vue magnifique sur la ville. Je me sens déjà bien ici, et je suis enthousiaste pour les projets à venir.
J’espère que tout va bien de ton côté aussi. À très bientôt !
Bien à toi,
Nabil
Une étudiante de 19 ans souhaite partir à l’étranger pour ses études et demande des témoignages sur un forum. Vous répondez en partageant votre propre expérience d’un séjour à l’étranger, en expliquant les défis et les bénéfices que vous en avez tirés.
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Étudier à l’étranger : une aventure qui change tout !
Partir étudier à l’étranger est une expérience inoubliable. Cela vous pousse à découvrir de nouvelles cultures, à apprendre une autre langue et à sortir de votre zone de confort. C’est une occasion unique de grandir personnellement et académiquement.
L’an dernier, j’ai passé un an en Espagne. Au début, tout me semblait compliqué : la langue, les coutumes, et l’éloignement familial. Mais, avec le temps, j’ai appris à m’adapter. J’ai progressé en espagnol, noué des amitiés fortes et découvert une nouvelle manière d’apprendre. Les moments passés à explorer des villes comme Barcelone et Séville resteront gravés dans ma mémoire.
Si vous hésitez, lancez-vous ! Cette aventure, bien préparée, vous ouvrira des portes et vous offrira des souvenirs inoubliables. N’ayez pas peur, c’est une chance qui en vaut la peine.
L’aide aux personnes en difficulté
Document 1 :
Marie, 58 ans, consacre chaque hiver un peu de son temps et de son argent pour aider les personnes sans abri. Elle estime que la solidarité est essentielle et que chacun peut contribuer, même par de petits gestes.
Document 2 :
Paul, 63 ans, pense que donner de l’argent ne suffit pas pour aider réellement les personnes en difficulté. Il préfère s’investir dans une association locale qui aide les sans-abris à trouver un emploi et un logement, leur offrant ainsi une solution durable.
L’aide aux personnes en difficulté : donner ou s’engager ?
Dans le débat sur l’aide aux personnes pauvres, don monétaire et engagement personnel s’opposent. Le Document 1 insiste sur l’importance des dons financiers et sur l’impact de ces gestes de solidarité accessibles à tous. À l’inverse, le Document 2 défend une approche durable, axée sur l’autonomie des personnes dans le besoin grâce à un accompagnement concret.
À mon sens, les deux approches sont complémentaires. Les dons financiers répondent à des besoins immédiats, apportant une aide précieuse dans des situations d’urgence. Cependant, comme le souligne le Document 2, l’engagement personnel favorise une solution à long terme en aidant les plus démunis à retrouver leur autonomie. Je préconise donc une action combinée : allier dons et participation active aux initiatives locales. Cette double approche maximise l’efficacité de notre solidarité, en répondant à la fois aux urgences et aux causes profondes de la pauvreté.